REVUE DE PRESSE
La Vie en vrai (avec Anne Sylvestre)
« Un geste artistique ouvertement militant, aussi délicat que généreux et courageux. »
SCÈNE WEB / Marie Plantin
« Délicate et puissante. Une chambre d’écho universelle aux tourments de l’existence... »
TT TÉLÉRAMA / Vincent Bouquet
« Un spectacle musical mélancolique et solaire, contant l’héritage poétique et politique d’Anne Sylvestre »
HOTTELOTHEATRE / Véronique Hotte
« Un vrai moment intime et émouvant partagé. Un instant suspendu. »
MANITHEA
« Une heure de bonheur dans un monde profondément humain. »
Froggy'sdelight / Philippe Person
« Marie Fortuit ou la reprise de volée valenciennoise »
« La Vie en vrai à Saint-Saulve »
« La poésie humaniste d’Anne Sylvestre résonne à Thivencelle »
PLAINES D'ÉTÉ / Blog, novembre 2021
Le Pont du Nord
« Rien d’étonnant du coup si ces dribbles verbaux, ces entrecroisements et autres passes que sont les dialogues renvoient souvent au vocabulaire du football. C’est d’ailleurs assis à une tribune comme s’ils assistaient à un match que l’on retrouve Adèle et Octave dans la dernière partie de ce très beau spectacle. Marie Fortuit, qui met pour la première fois en scène un de ses textes, connaît d’autant mieux l’univers du foot qu’elle a elle-même joué au Paris Saint-Germain. Après avoir hésité à se lancer dans une carrière de footballeuse professionnelle, elle a finalement opté pour le théâtre. Ce qui, à en juger par cette création, est incontestablement un bon choix. »
Hugues Le Tanneur | Des mots de minuits, 13 oct. 2019
« Tout glisse, tout file en lignes fuyantes. (...) les acteurs affirment la personnalité de leur personnage, Marie Fortuit en tête, tout en vibrante délicatesse. Le Pont du Nord, première pièce, pleine de réminiscences et de secrètes connivences, d’une artiste obstinée. »
Jean-Pierre Thibaudat | Le blog Mediapart, 4 oct. 2019
« La lumineuse Marie Fortuit (Adèle) a une force imparable et une sensibilité à fleur de peau. Antoine Formica est, lui, un frère franc et ouvert, capable d’humour et à l’énergie comparable à celle d’Adèle… dont l’amie et amante, reine du ciel et des songes, est incarnée entre liberté et retenue par Mounira Barbouch, à la belle présence et le sourire aux lèvres. »
Véronique Hotte | Théâtre du blog, 5 oct. 2019
« La plume acérée, vive, âpre, Marie Fortuit se fait l’écho d’un monde, d’une société. »
Olivier Frégaville | L'œil d'Olivier, 2 oct. 2019
"Comptine d'aujourd'hui"
REVUE FRICTIONS / Jean-Pierre Han, 20 octobre 2019
"Le Pont du Nord de Marie Fortuit : la mémoire et la Sibylle"
BULLES DE CULTURE / 17 octobre 2019
Nothing hurts
« Dans Nothing hurts, la confusion des sentiments n’a d’égal que la collusion des faits (invérifiables, réécrits, fantasmés). Des accidentés de la vie. Mots, corps, certitudes, tout est parti en lambeaux. Des solitudes concomitantes. Ainsi va la pièce : déchirée. Et soudain déchirante (...).
La mise en scène de Marie Fortuit accentue le corps à corps, cette attirance-répulsion entre ces deux femmes, les deux autres personnages (masculins) étant plutôt spectateurs. Mention particulière cependant pour le DJ joué par le formidable créateur sonore Christophe Hammarstrand, qui contribue à donner au spectacle son atmosphère indécidable, entre chien et loup, nous accompagnant dans les méandres de la pièce jusqu’à son dernier mot : "sentiments". On reviendra aux Lilas, 43 rue du Coq-Français. »
RUE 89, Jean-Pierre Thibaudat, mai 2013
« Pour sa première mise en scène, Marie Fortuit, de la compagnie Théâtre A, a choisi Falk Richter, auteur allemand contemporain (…) ensemble de mots et d’images explosant en fragments porté par un formidable flux qu’alimentent les trois comédiens et le DJ présent sur scène (...) un remarquable travail de direction d’acteur, en particulier en ce qui concerne la diction (celle de Marie Fortuit est admirable), cruciale face à pareil texte. Si bien que nous attendons avec impatience ses prochains spectacles (…) »
LE SOUFFLEUR, Justin Winzenrieth, octobre 2014
« Marie Fortuit impose une mise en scène exigeante, inventive et engagée. L'écriture de Falk Richter ne se lit pas stricto sensu. Une littéralité s'invite dans le jeu scénique, le cynisme de Kafka, l'arrogance de Pinter, la fragilité de Skorobogatov. Un engagement indiscipliné véhiculé par des personnages fictifs et qui prennent vie dans l'intelligence de la mise en scène de Marie Fortuit (...) »
LA THEATROTHEQUE, Philippe Delhumeau, octobre 2014
« C’est un travail de précision et sans prétention aucune. Nous pouvons nous tromper mais on devrait vite voir Marie Fortuit s’attaquer avec bonheur à d’autres textes contemporains: elle a la dimension pour le faire.»